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mon alcool ma mere
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mon alcool ma mere

Le Cannet (06110)

Par ce témoignage, l’auteur décrit la réalité de son enfance à travers le prisme de l’alcoolisme de sa mère.
Cette dernière suivra-t-elle les traces de ses amies, décédées de cette maladie, ou parviendrat-elle à combattre son addiction ?

Au fil des pages, ce fléau présent – entre autres – dans les petits villages français est presque présenté
comme une évidence, une coutume, un rituel auquel il est difficile d’échapper.

Code ISBN 979-10-203-3676-7 – Format: 15 x 21 cm – 56 pages – Prix de vente : 10,50 €

Contact presse et libraires : communication@editions-baudelaire.com – Tel.: 04 28 29 16 06

Témoignage
Commandes libraires : Hachette Distribution (Dilicom), commandes fermes
Éditions Baudelaire, commandes en dépôt

Jacky Bayili est docteur en sciences de l’information.

On est loin des clichés de Paris et ses banlieues
de travailleurs.
Nous sommes plus de cette France franchouillarde
de bons vins et de bistrots que d’une France aux
trois couleurs. Le bleu de Paris et de ses coquelicots,
le blanc de sa pureté et sa noblesse d’âme et le
rouge, le rouge de notre ville, de nos martyrs, de
nos sangs, le rouge du bon vin, le rouge des peuples
français et de sa notoriété.
Si je m’appelle encore Thierry, c’est
qu’aujourd’hui, je ne bois pas, je fais le service.
Croire que Ginette n’a enfanté que le petit
Thierry, non, je suis l’aîné de sept enfants mais ils
vivent tous dans le grand Paris. Mes frères et sœurs
étudient, moi, j’ai arrêté pour être le notable, le
comptable.
Vous savez, je vais tout vous décrire mais la vie
de Ginette n’est pas un vin de bordeaux, c’est plus
un rosé, un pichet…
Celle qui incarne ce livre, mon alcool, ma mère,
c’est sans aucun doute de Navarre, Ségolène,
l’aristocrate de quarante-sept ans. Elle est belle, elle
est brune de taille moyenne avec un corps ferme.
Son mari est lui aussi décédé mais pas pour la
France, simplement pour son emploi. Son mari
était médecin, un aristocrate de Pompadour. Il
était renommé, un air vif et vibrant, le médecin
de famille qui revenait de ces contrées lointaines
pleines d’humanisme…
Moi, Thierry, je n’arrive pas à parler de Chantal,
c’est dur, elle me connaît, elle nous connaît tous,
c’est un peu la sociologue, la psychologue du village,
de notre pavillon.
Aller aux grandes croix, les grands remèdes, c’est
le supporteur de notre ville et de nos échéances. On
me dit et même Chantal l’affirme : « Thierry, tu es
mon courage, le déni des comptables, des vides de la
France, tu es l’activisme sans lumière. »
Au fil des pages…
Quatrième de couverture
« J’ai écrit ce roman en me basant sur des aventures
d’alcool de voisinage et de famille. Je me rappelle
à des moments avoir bu sans raison mais en
m’arrêtant.
Pendant une année, j’ai reconduit des femmes et
des amies car elles avaient trop bu. Reconnaître
un mal-être profond avec l’alcool est déjà un pas
second dans sa guérison.
Par ailleurs, beaucoup d’hommes et surtout de
femmes souffrent de l’alcool et de ses dérives.
J’ai voulu par cette histoire relater un moment
d’égarement et des moments de solitude, montrer
l’alcool et ses ravages.
L’alcool est un fléau qui tue nos populations dans
le silence d’un bouchon ou d’une bouteille vide sans
voix… »
Jacky BAYILI
Auteur résidant à: Le Cannet, Alpes-Maritimes
--
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Les editions baudelaire
Marine Caquin
04 28 29 16 06
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https://www.editions-baudelaire.com/auteur/jacky-bayili



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