Recueil "à cœur ouvert"

Aline Grillon écrit des poèmes depuis l'âge de 12 ans. Elle rédige également des articles d'économie, sur la musique et la peinture. Pour reprendre une citation de Jean Renard, pour elle, ''écrire est une façon de parler sans être interrompu''. Elle a publié son premier recueil en février 2009, aux éditions Saint-Amans : ''Sentiments Vécus'' (paru avec son nom de jeune fille).

Elle a fait des études d'économie puis de journalisme, avant de se tourner vers un engagement plus militant et associatif, au profit du bien-être des autres. Militante associative infatigable, c'est une femme engagée D'autres passions l'animent comme, notamment, le théâtre, la guitare, la plongée, les randonnées, le tennis, les voyages.

En mai 2018, elle publie son second recueil : « A cœur ouvert », en auto édition avec Bookelis. Ce recueil est disponible : http://bookelis.com/...

Elle participera à des événements, tels que le salon du livre de Saint Arnoult en Yvelines (dimanche 23 septembre 2018) et celui d’Elancourt (dimanche 2 décembre 2018).

Vous pouvez retrouver des informations sur : https://www.facebook.com/ecritsparaline/

******** Ils en parlent… en préface ********

Préfaces publiées dans ce recueil "à cœur ouvert"

////// Préface de Mario Urbanet //////

Un second recueil de poésie est toujours attendu avec l’attention que l’on porte à observer dans un steeple-chase le franchissement du prochain obstacle.

Ces vingt-huit poèmes sont autant de petits instantanés qui exacerbent les piqûres de l’existence. Aline Grillon gratte ses propres plaies mais aussi celles de ses contemporains. Non pas pour se plaindre mais pour y faire face. Avec la force des mots pour toute arme.

Elle adopte ici un rythme de croisière dans la maîtrise de son art. Son parti est pris. Avancer résolument vers la recherche du vrai, assumer un parcours sans fard dans cette aventure de vivre, au cœur des réalités de notre temps et prouver sa singularité dans la foule anonyme. Son engagement dans la vie se prolonge dans sa poésie, y prend corps et sens. Elle y ancre ses convictions, ses doutes aussi mais il en émane une sérénité propre à aviver les éclaircies et les promesses qu’offre parfois aussi cette même vie.

… peur de l’autre de soi …… se parler, se soutenir …
La vie comme le monde est un tout où l’on est solidaire ou pas. Ses choix comme son comportement, le sont résolument. En tant que femme, citoyenne, militante, épouse, mère, elle est celle qui dit pour tous, indissolublement de son action. Cet écrin personnel s’ouvre aux autres, sans qui elle se sent incomplète. Elle laisse percer ce manque, cette réticence à se sentir heureuse, hors les autres.
… dualité en moi. …se sentit vide/sans l’autre…
Le bonheur total ne se conçoit que dans un ensemble. Faute de quoi on n’en savoure que des parcelles, certes bienvenues mais qui laissent une soif de plénitude à combler constamment coute que coute.
Elle trace par petites touches précises le canevas de l’existence. Grandir, se chercher, aimer, enfanter, mais aussi craindre et lutter en dépit cette crainte. C’est pourquoi les grands évènements affleurent à l’esprit quand elle parle de son quotidien. Elle s’engage sur tous les fronts de l’actualité, l’aide aux démunis, le harcèlement, la maltraitance, la paix …
…écrire pour être libre …acteur pour ses pairs…
Pour elle, l’écriture est indissociable de l’action. San formation de journaliste la fait chroniqueuse de terrain. La sensibilité de son ressenti la fait poète Se montrer efficace dans la précision, cibler les démangeaisons de notre société, s’en tenir à l’essentiel dans ses coups de griffes, rendent son écriture fluide, de celles qui laissent des traces. Ce parcours poétique offre une lecture attachante. Chaque lecteur peut y confronter son propre parcours, À lui de conforter au-delà du constat, l’optimisme qui malgré tout émane de ces pages.
…grandir avec tout ça… /on voyage/d’âge en âge …
Ces mots résonnent comme une invitation à convertir chaque épreuve en graine d’espoir.

Mario Urbanet

/////// Préface de Laurence Karsznia et Mourad Laffitte //////

Il est grisant d'affronter la page blanche quand à la demande de l'auteure, il est question de préfacer son recueil. Rien de sombre en effet, à noircir la page lorsqu'il s'agit de faire écho à la poésie d'Aline Grillon.
Dans ce recueil, l'image des maux s'entrelace aux mots du courage. Forts, pudiques, ces derniers révèlent le chemin parcouru et celui à construire.

La plume de l’auteure trace son indéfectible ligne de conduite : quelque soit les épreuves, les douleurs, les doutes, Aline Grillon avance, donne, partage et savoure chaque seconde.
En la lisant, on retrouve son sourire et son engagement infaillible ; on découvre aussi d'autres rivages que seule l'écriture lui permet de révéler.
Ainsi va la force de la création littéraire.

Par sa sensibilité et l’acuité de son regard, mais aussi par son langage poétique, Aline Grillon parvient à nous offrir son intimité tout en nous renvoyant à notre propre réalité.
Grande militante de la solidarité, elle nous rappelle ainsi que l'art et la culture permettent de sublimer la vie, et n'ont de sens que s'ils sont partagés.

Puisé dans le monde ordinaire qui nous entoure, l'acte d’écriture est tout sauf anodin. Il transforme l'auteur comme son lecteur. Il invente un nouvel univers qui permet de s'évader, de mieux saisir notre vie et de la dépasser ensemble.

Bon voyage à travers les pages de ce recueil.

« La poésie, c'est un des plus vrais, un des plus utiles surnoms de la vie. » Jacques Prévert

Laurence Karsznia et Mourad Laffitte, réalisateurs

******** Ils en parlent… en préface ********

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