Paris 14
Images d'Helvétie - Carte blanche au festival Visions du réel : projection de "Mercado de futuros" de Mercedes Alvarez
Découverte et transmission
« Consacrer la renommée des cinéastes et révéler de nouveaux talents sont deux des principaux buts de Visions du Réel, qui se place depuis de nombreuses années sous le signe de la découverte et de la transmission. Pour découvrir, il faut sortir des sentiers battus et rester curieux. Pour transmettre, il faut avoir le plaisir de la rencontre et du dialogue. Ce constat vaut autant pour ceux qui font les films que pour ceux qui les regardent.
C’est donc sous le signe de la découverte et avec l’envie de transmettre que nous présentons, dans le cadre de la Fondation suisse/Pavillon Le Corbusier à la Cité internationale universitaire de Paris, six films qui ont marqué la vie de notre Festival au cours de trois dernières années. A partir de 2011 nous avons choisi de vous montrer, pour chaque édition, les deux longs métrages qui répondent aux deux buts cités auparavant : le Grand Prix du Festival, remis au meilleur long métrage de la Compétition Internationale et le Prix Regard Neuf, remis au meilleur premier film du programme.
Les spectateurs y trouveront des sujets importants de la réalité contemporaine, autant sur le plan social et politique qu’humain et personnel : la reconstruction d’un tissu collectif dans un village de l’Amérique latine après des années de violence et de massacre, la mondialisation et la perte de la mémoire d’une possible diversité, la désillusion des jeunes palestiniens réfugiés en Syrie à l’aube de la guerre civile, l’amitié à l’épreuve de l’autisme, le rapport controversé entre un cinéaste et son père musicien, la solitude enragée d’un exilé. Le monde est toujours le même. Les hommes aussi. Les films qui observent le monde sont faits par les hommes pour leurs semblables. Regarder le monde signifie connaître et se reconnaître. »
Luciano Barisone
Directeur Visions du Réel
Mercado de futuros de Mercedes Alvarez
vo.st.en
Une maison vidée de tous ses objets à la mort du propriétaire, un marché aux puces, un salon international de la construction, des opérateurs boursiers au travail, un vieux brocanteur qui refuse de vendre ses objets: à travers une série de portraits et de tableaux, émergent la signification du temps présent, la perte de mémoire et le caractère sans-gêne d’un marché qui nous vend l’avenir.
L’entrée est libre et gratuite dans la limite des places disponibles.
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Horaires
20h00
Tarifs
l'entrée est libre et gratuite dans la limite des places disponibles
